Le traitement par immunothérapie, une option de premier plan pour contrer votre allergie aux chats.
Vous débarrasser de votre animal préféré n’est plus la seule option.
Être allergique aux chats n’est pas toujours évident, et encore moins lorsque le félin fait partie intégrante de la famille. Et même si les symptômes incommodants en lien avec une allergie aux chats sont variés, se départir de son chat n’est pas toujours une solution facile, le lien affectif est souvent difficile à contourner.
Il se présente fréquemment la situation où l’un de nos patients allergiques aux chats fait la rencontre d’un nouvel amour, dont la vie est partagée avec un chat. Avoir à choisir entre le nouvel élu ou le chat n’est certes pas l’idéal. Certainement, le départ du chat pourra, à terme, aider au contrôle des symptômes d’une personne allergique aux chats. Mais l’allergène du chat est léger et collant et il continuera de contaminer l’environnement pendant des mois après le départ du chat et ce malgré toute l’hygiène possible. C’est un antigène très commun dans les lieux publics et à l’école.
La décision de se départir d’un chat doit tenir compte de la sévérité des symptômes du patient affecté de cette allergie au chat. L’asthme difficile à contrôler et une rhinite ayant des conséquences sur le sommeil sont évidemment plus problématiques. Mais le plus souvent, on peut tenir compte du choix du patient allergique au chat de conserver son animal en proposant les ajustements suivants:
L’allergène le plus fréquemment en cause dans l’allergie aux chats vient des glandes de la peau dont le fonctionnement est dirigé par les hormones mâles du chat. Il sera donc généralement plus facile pour la personne allergique aux chats de tolérer la présence de chatons ou de chattes.
Bien sûr, si on est allergique au chat, il est préférable d’isoler notre lieu de sommeil du contact avec le chat. Celui-ci ne devrait pas avoir accès à la chambre et encore moins au lit, de sorte que la personne allergique au chat puisse bénéficier, 8 heures par jour, de cette éviction relative et ainsi mieux dormir. De plus, il est important de penser au système central de ventilation.
Dans la plupart des cas, il est possible de considérer l’immunothérapie pour changer le cours d’une allergie au chat et permettre une alternative intéressante à l’éviction stricte. L’option de l’immunothérapie sublinguale s’avère particulièrement avantageuse dans ce contexte. Au-delà des symptômes de l’allergie aux chats, l’immunothérapie bien administrée, avec un suivi attentif d’une condition asthmatique si c’est le cas, permet une alternative d’AVANT GARDE MédicalMD pour les patients allergiques aux chats.